1941 HITS ARCHIVE: Take The “A” Train – Duke Ellington (instrumental)
Duke Ellington, “Take the A Train”
Hurry, hurry, hurry
Take the A train
To get to Sugar Hill way up in Harlem
If you should take the A train
You’ll get to where you’re going in a hurry
Hurry, hurry, hurry
Now it’s goin’
Can you hear the rails a hummin’ (boo de ahh dah)
If you should miss the A train
You’ll miss the quickest way to get to Harlem
Thérèse Maria Léonie Gendebien, known by the stage name Léo Marjane (26 August 1912 – 18 December 2016) was a French singer who reached the peak of her popularity in the late 1930s and early 1940s before her career went into sharp decline after the end of World War II.
Leo Marjane & Brassai – Seule ce soir, 1941
Refrain :
Je suis seul ce soir avec mes rêves,
Je suis seul ce soir sans ton amour.
Le jour tombe, ma joie s’achève,
Tout se brise dans mon coeur lourd.
Je suis seul ce soir avec ma peine,
J’ai perdu l’espoir de ton retour,
Et pourtant je t’aime encor et pour toujours
Ne me laisse pas seul sans ton amour .
Je viens de fermer ma fenêtre,
Le brouillard qui tombe est glacé ;
Jusque dans ma chambre il pénètre,
Notre chambre où meurt le passé.
Refrain
Dans la cheminée, le vent pleure,
les roses s’effeuillent sans bruit,
L’horloge, en marquant les quarts d’heure,
D’un son grêle berce l’ennui
Refrain
Tout demeure ainsi que tu l’aimes,
Dans ce coin par toi dédaigné,
Mais si ton parfum flotte même,
Ton dernier bouquet s’est fané.
À Paris est une chanson française écrite en 1946 par Francis Lemarque, qui la chante sur un 78 tours publié en 1949. Elle est plus tard chantée par Yves Montand
Yves Montand A Paris
A Paris
Quand un amour fleurit
Ca fait pendant des s’maines
Deux coeurs qui se sourient
Tout ça parce qu’ils s’aiment
A Paris
Au printemps
Sur les toits les girouettes tournent
Et font les coquettes
Avec le premier vent
Qui passe indifférent
Nonchalant
Car le vent
Quand il vient à Paris
N’a plus qu’un seul souci
C’est d’aller musarder
Dans tous les beaux quartiers
De Paris
Le soleil, qui est son vieux copain
Est aussi de la fête
Et comme deux collégiens
Ils s’en vont en goguette
Dans Paris
Et la main dans la main
Ils vont sans se frapper
Regardant en chemin si Paris a changé.
Y a toujours
Des taxis en maraude
Qui vous chargent en fraude,
Avant le sationnement
Où y a encore l’agent des taxis
Au café, on voit n’importe
Qui qui boit n’importe quoi
Qui parle avec ses mains
Qu’est là depuis l’matin
Au café
Y a la Seine
A n’importe quelle heure
Ellle a ses visiteurs
Qui lla r’gardent dans les yeux
Ce sont ses amoureurx, à la Seine
Et y ceux, ceux qui ont fait leur lit
Près du lit de la Seine
Et qui s’lavent à midi,,
Tous les jours de la s’maine, dans la Seine
Et les autres, ceux qui en ont vu d’trop
Et qui veulent oublier, alors, ils’jettent à l’eau
Mais la Seine,
Ellle préfère
Voir les jolis bateaux naviguer sur elle
Et au fil de son eau, jouer aux caravelles, sur la Seine
Les ennuis, y’en a pas qu’à Paris,
Y’en a dans l’monde entier
Oui, mais dansl’monde entier,
Y’a pas partout Paris
V’là l’ennui
A Paris, au quatorze juillet
A la lueur des lampions
On danse sans arrêt
Au son d’l’accordéon
Dans les rues
Depuis qu’à Paris
On a pris la Bastille
Dans tous les faubourgs
Et chaque carrefour,
Il y a des gars et il y a des filles
Qui, , sans arrêt, sur les pavés
Nuit et jour, font des tours
Et des tours
A Paris !
Lucienne Delyle (16 April 1917 – 10 April 1962) was a French singer. After the very famous song Mon amant de Saint-Jean (my lover from Saint-Jean), in 1942, Lucienne Delyle became the most popular French female singer of the 1950s. Discography 1942 – Mon amant de Saint-Jean
Lucienne Delyle ~ Mon Amant de Saint-Jean (1942)
1 – Je ne sais pourquoi j’allais danser
A Saint-Jean au musette,
Mais il m’a suffit d’un seul baiser
Pour que mon coeur soit prisonnier
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l’on croit toujours Aux doux mots d’amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l’aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée, Sans volonté, Sous ses baisers.
2 – Sans plus réfléchir, je lui donnais
Le meilleur de mon être
Beau parleur chaque fois qu’il mentait,
Je le savais, mais je l’aimais.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l’on croit toujours Aux doux mots d’amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l’aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée, Sans volonté, Sous ses baisers.
3 – Mais hélas à Saint-Jean comme ailleurs
Un serment n’est qu’un leurre
J’étais folle de croire au bonheur,
Et de vouloir garder son coeur.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l’on croit toujours Aux doux mots d’amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l’aimais tant,
Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,
Il ne m’aime plus, C’est du passé, N’en parlons plus (bis)
Il revient à ma mémoire
Des souvenirs familiers
Je revois ma blouse noire
Lorsque j’étais écolier
Sur le chemin de l’école
Je chantais à pleine voix
Des romances sans paroles
Vieilles chansons d’autrefois
Douce France
Cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance
Je t’ai gardée dans mon cœur!
Mon village au clocher aux maisons sages
Où les enfants de mon âge
Ont partagé mon bonheur
Oui je t’aime
Et je te donne ce poème
Oui je t’aime
Dans la joie ou la douleur
Douce France
Cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance
Je t’ai gardée dans mon cœur
J’ai connu des paysages
Et des soleils merveilleux
Au cours de lointains voyages
Tout là-bas sous d’autres cieux
Mais combien je leur préfère
Mon ciel bleu mon horizon
Ma grande route et ma rivière
Ma prairie et ma maison
Douce France
Cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance
Je t’ai gardée dans mon cœur!
Mon village au clocher aux maisons sages
Où les enfants de mon âge
Ont partagé mon bonheur
Oui je t’aime
Et je te donne ce poème
Oui je t’aime
Dans la joie ou la douleur
Douce France
Cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance
Je t’ai gardée dans mon cœur
“La Mer” (English: “The Sea”) is a song written by French composer, lyricist, singer and showman Charles Trenet. The song was first recorded by the French singer Roland Gerbeau in 1945. It was not until 1946 that Trenet recorded his own version. When it was released in 1946, it became an unexpected hit, and has remained a chanson classic and jazz standard ever since.
Charles Trenet – La Mer
LYRICS
La mer
Qu’on voit danser le long des golfes clairs
A des reflets d’argent
La mer
Des reflets changeants
Sous la pluie
La mer
Au ciel d’été confond
Ses blancs moutons
Avec les anges si purs
La mer bergère d’azur
Infinie
Voyez
Près des étangs
Ces grands roseaux mouillés
Voyez
Ces oiseaux blancs
Et ces maisons rouillées
La mer
Les a bercés
Le long des golfes clairs
Et d’une chanson d’amour
La mer
A bercé mon cœur pour la vie
—————-
The sea,
We see dancing along the shores of clear bays,
Shimmers with silver
The sea
Changing shimmers
Under the rain
The sea
With the summer sky
Mix up her white horses
With the angels so pure
The infinite azure shepherdess
Sea
Sea
By the ponds
Those big wet reeds
See
Those white birds
And those rusty houses
The sea
Has cradled them
Along the shores of clear bays
And with a love song
The sea
Has rocked my heart for life